OS: Joyeuse Saint Valentin.

Lundi 4 février 1 04 /02 /Fév 20:27


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Joyeuse Saint Valentin




      La nuit étalait son ombre opressante sur le ciel gris, insensible à la tristesse qu'elle recouvrait, insensible au désespoir d'un coeur venant de se briser...
Elle était là dans ses bras, l'ambrassant avec fougue, ignorant le monde qui l'entoure, ne voyant pas le regard vide braqué sur elle. Il était en retard pour ce jour de Février si important lorsque l'on aime, il le savait, il s'était attendu à tout, des larmes, des cris, tout mais pas à ça. Tout mais pas à la trouver dans ses bras a lui. A lui, à son meilleur ami, son frère de coeur.
Il détourna les yeux des deux amants et sans bruit quitta la pièce. Il avait tout perdu ce soir là, la femme qu'il aimait, son ami et sa joie de vivre. Il plongea la main dans sa poche, y saisit l'anneau d'argent qui patientait dans son écrin de velour et le jeta dans l'égouts qui bordait la rue.
Joyeuse Saint Valentin ...


......

Un ans plus tard...


Il avancait doucement, discrètement, un pas aprés l'autre. Repérant sa proie dans l'obscurité, il fila sans bruit vers celle ci, il leva son arme, se préparant à frapper. Soudain le coup fusa, rapide, silancieux, indistinc et l'arme s'abattit violemment sur sa cible.

- Aaaaaaah!

Sous la puissance du coup la victime émmergea de son sommeil, les yeux collés, les cheveux en vrac, elle fixa un moment son agresseur sans vraiment comprendre. Puis tout fut clair. Elle se saisit de l'arme et se jeta sur son agresseur qui entreprit de prendre la fuite.

- Daï tu vas me payer ca! Amene toi!

La victime se lanca a la poursuite du dénomé Daï, elle parvient a le coincer au niveau de la salle de bain, l'immobilisant contre le mur, elle lui abattit de toute ses force l'oreiller qu'elle tenait dans la main. Elle continua à assener des coups à son ennemi, répandant à chaque fois un peu plus le rembourrage de son arme de fortune, et ceux jusqu'a ce que son agresseur cris grace.

- Stop Abi, pitié j'me rend. Arrete ça fait mal!

Abi regarda Daï à genoux par terre, les cheveux décoiffés et parsemés de petites plumes grise. Ne pouvant résister à la scène et au regard de chien battut de son colocataire, il éclatat de rire. L'agresseur agressé se releva difficilement. Il regarda son ami rigoler, cela faisait si longtemps qu'il n'avait plus ri comme ça. Un rire chaud et agréable, un rire d'enfant. Abi s'apercut qu'il était observé et s'arreta de rire, Daï le fixait d'un air serieux, avait-t-il était trop loin dans sa contre attaque ?

- Daï ? ca va ? Je t'ai fait mal? demanda t'il l'air inquiet
- Tu rigoles ! Tu m'as complètement décoiffé! argh comment je vais rattraper ça ... Se plaignit-t-il en tenant d'un air désespéré une de ses longues mèches brunes qui repiquaient à présent à angle droit.
- T'en mourras pas et c'est ma vengeance.

Abi regarda son ami se précipiter devant le miroir de la salle de bain en pleurnichant. Il appréciait et respéctait beaucoup Daï, même si c'était quelqu'un d'assez excentrique dans son genre, il avait sut lui rendre le sourire. Il avait rencontré Daï à une période où il pensait que sa vie ne valait plus le coup d'etre vécut. Si sa route n'avait pas croisée celle du jeune homme, peut-être aurai-t-il finit par faire une bêtise. Il avait d'abord eu du mal à accorder à nouveau sa confiance, mais aujourd'hui il était reconnaissant à Daï pour tous les efforts qu'il avait fournit pour le sortir du gouffre dans lequel il était tombé.
Sortant de ses pensée Abi jeta un coup d'oeil à sa montre, la grande aiguille avait bientot rejoint sa petite soeur sur le huit.

- Oh putain! Daï magne tes fesses il est moins vingt!  Cria-t-il à l'adresse de son ami toujours planté devant son miroir.

Il fonca dans sa chambre, ouvrit la penderie pour en retirer un jeans noir, un tee shirt a manche longue assortit et son manteau. Il examina son reflet dans le miroir de la porte et grimaça, il ressemblait à un mort vivant comme ça. Avec ses cheveux blanc neige lui tombant en bas de la nuque et sur les yeux et refusant catégoriquement de rester coiffés plus de cinq minutes il ressemblait à un grand père punk. Il repoussa une mèche cachant ses yeux gris métal, tant pis il n'avait plus le temps, ce matin il ressemblerait une fois de plus à un fantôme.
Il regarda à nouveau sa montre, les dix minutes d'avance étaient maintenant révolues.

- Daï il est huit heure! Pitié sort de là maintenant! Suplia-t-il en faisant les cent pas devant la porte de la salle de bain.
- Je suis prêt rooh.

Celui-ci daigna enfin ouvrir la porte de la pièce, il portait à présent un jean bleu ciel, un tee shirt à manche longue vert anis sur lequel il en avait passé un autre à manches courtes assortit au jean. Abi le regarda d'un oeil critique, certes, lui ressemblerait à Dracula, mais au moins on ne le confondrait pas avec Kiri le clown. Malgrés cela Abi ne put s'empécher de le trouver beau, avec ses long cheveux brun, parfaitement lisse qui lui tombait jusqu'en bas du dos et ses yeux en amande vert émeraude. Il aurait revé d'avoir les même. Daï ressemblait à une fille, avec ses traits fin, et ca l'amusait beaucoup, il prenait un certain plaisir à entretenir son physique androgyne.

- C'est bon on peut y aller? On est a la bourre avec tes conneries.
- Rooh du calme Abichou je te ferais dire que t'étais pas plus prêt que moi.
- Ben voyons ...

Ils arrivèrent à la fac avec dix bonnes minutes de retard, ce qui eu le don de mettre les nerfs d'Abi à vifs.

- Tain, si l'épreuve a déja commencé je t'étripe ! Ragea Abi
- Relax, le prof est toujours à la traine
- Si tu n'avais pas passé trois plombes à te frisoter la perruque on en serait pas a prier pour que ce soit le cas !
- Je la frisotait pas, je la défrisotait.
- Ranafoutre !
- Rale pas ! Etre beau c'est ce qui fait de moi ce que je suis !
- Un type mégalo ? Ca c'est clair ...
- Roh fais pas ton grincheux Abichou, tu m'adores !

Abi prit mal la derniére remarque de son ami. Oui, il l'adorait, mais pas comme il se l'imaginait.
A l'approche de la salle d'examen ils se turent, entrèrent en silence pour rejoindre leur place respective. Le professeur commenca à distribuer le dossier d'examen. Abi prit le sien et l'etudia, cinq années d'études laborieuses pour en arriver là, à fixer bêtement ses policopiés sans rien écrire, parceque son esprit est ailleurs, il était resté bloqué sur les derniers mots de Daï. Son ami, rien que de prononcer ces mots lui faisait mal au coeur, il ne voulait pas de lui comme ami, il voulait bien plus et ça lui était impossible. Même si Daï aimait jouer de son apparence efféminé, il n'en était pas pour autant gay. Il avait toujours était entouré de belle femme, des conquêtes d'un soir, mais jamais ,d'aussi loin que  se souvienne Abi, il n'avait regardé un homme. Il avait beau réfléchir, il ne parvenait pas à se souvenir depuis quand il aimait Daï, depuis le jour où il avait emménagé chez lui sûrement. Depuis la première fois où il l'avait vu, Daï lui avait prit son coeur en même temps qu'il lui rendait le sourire. Le coeur a ses raisons que la raison ignore. Il aimait une personne qui ne l'aimait pas et de sûrcroit un homme, qu'importe la raison les faits étaient là et il ne pouvait rien y faire.
Abi regarda sa montre, la moitié du temps était déja écoulé. Il regarda à nouveau sa feuille, rien ne lui venait à l'esprit. A l'inverse de Daï, Abi se laissait vite abattre pour la moindre contrariété. Il soupira, écrivit son nom sur le dossier, se leva pour le remettre a l'examinateur, puis il quitta la salle.
Daï regarda son ami partir sans comprendre, le suivant du regard jusqu'à ce que la porte se referme derrière lui. Il avait bien vu une larme brillée au coin de l'oeil d'Abi et cette vision lui fendait le coeur. Il ne supportait pas qu'Abi soit triste, il avait besoin du bonheur de celui qu'il aimait comme l'être humain a besoin d'air pour vivre. Ni une ni deux, il referma son dossier, nota son nom dessus, le rendit à son tour au vieux bonhomme charger de les surveillés, puis s'élanca à la poursuite du jeune homme au cheveux blanc. Aucune trace de lui dans la rue, Abi avait disparut.
Il chercha aux alentours, la voiture était toujours là, il n'avait pas pu aller bien loin. Daï se rendit au café où ils avaient l'habitude d'aller ensemble, à la bibliothèque, au centre commercial, mais en vain. Il était à présent mort d'inquiétude, il avait peur, peur qu'il soit arrivé quelque chose a Abi, peur de perdre son bien le plus précieux. Si son ami venait à disparaitre il ne s'en remettrait jamais, il en était persuadé.
Abi avait décidé de rentrer à pied,il avait besoin d'être seul, avec ses pensées et ses regrets. Il marcha longtemps, fixant le trottoir de ses yeux vides. Il s'apercu à peine d'être arrivé à sa résidence. Il monta lentement les escaliers, délaissant l'ascenceur, esperant ainsi ne croiser personne. Arrivé à l'étage, il ouvrit la porte oubliant les clefs dessus et traversa l'appartement jusqu'à sa chambre. Il se laissa tomber sur le lit recouvert  de satin noir, la tête enfoui dans son oreiller et laissa libre cours à son chagrin.
Lorsque Daï arriva enfin à l'appartement, il remarqua d'abord la porte restée entrouverte, les clefs toujours accrochées à la serrure, mais ce n'est qu'une fois rentré qu'il percu le bruit de sanglots étouffés provenant du fond du couloir, de la chambre d'Abi. Il s'en approcha et sentit à nouveau son coeur se briser. Il frappa doucement à la porte de la chambre.

- Abi c'est moi ...

Silence

- Abigail, c'est Daï ouvre moi s'il te plait...

Resilence

- Si tu n'ouvres pas je rentre ...

Reresilence.

Allongé sur le lit, la tête toujours enfouit dans les coussins, il entendit la porte s'ouvrir et Daï murmurer son nom. Les pas légers s'approchèrent de lui et une main se posa délicatement sur ses cheveux.

- Abi, qu'est ce qui se passe ?
- Rien...
- Abi, s'il te plait, dis le moi.
- Rien je t'ai dis, fiche moi la paix !

La réponse avait été dite sur un ton agressif. Daï ne comprenait pas, il avait peur, peur de ne pas comprendre, peur d'etre la source des larmes d'Abi.

- Abi, c'est pas rien. T'es parti en plein milieu de l'exam. T'as peut etre planté ton diplôme ! C'est pas rien merde ! Il se mordi la lèvre, il avait réagit au ton et à la tristesse d'Abigail, son ton était plus violent qu'il ne l'avait souhaité.
- Qu'est ce que j'en ai a foutre de mon diplôme ! Qu'est ce que j'en ai a foutre de ma vie ! Tu peux pas comprendre ...
- Comprendre quoi ? Explique moi Abi! Ce diplôme c'était ton rêve ! T'as peut etre laisser passer ta seule chance de le réaliser ! Je comprend p...
- Ferme la Daï ! Ferme la ! C'est de ta faute si j'en suis arrivé là, alors ferme la s'il te plait !

Abi éclata en sanglots, il ne pouvait pas comprendre, non il ne comprendrait jamais cette douleur qu'est d'aimer sans retour. D'attendre un signe d'amour sans jamais en apercevoir. Il ne comprendrait jamais ce besoin d'être aimer à nouveau. De compter pour la personne présente dans son coeur. Il ne le comprendrait jamais lui ...
Daï reçut la dernière phrase d'Abigail comme un coup de poignard dans le coeur. Ainsi sa peur était fondée, c'était lui, c'était sa faute. Il l'avait lui, la seule personne qu'il aimait, celle qui faisait battre son coeur, il l'avait bléssé et à présent elle était là noyée dans son chagrin. Dans un élan de désespoir, il saisit Abi par les épaules et le releva face à lui, noyant son regard dans les yeux gris métal dans lesquels semblait se déchainer une tempete,rendant leur couleur encore plus intense.

- Abigail, explique moi... Je t'en suplis...

Abi restait figé, les yeux perdu dans ceux de son ami. Il ne saisissait plus le sens des mots de Daï. Il ne voyait plus que son visage tout prêt  du sien et ses lévres si prêt des siennes. Il sentit la main de Daï dégager une mèche de son front. Un contact si doux, un geste plein d'amour et de tendresse. Ni tenant plus, d'un geste vif  il écarta la main de son ami et se jeta sur ses lévres ainsi offerte.
Dans ce baiser, il y mit tout son amour, tous ses sentiments refoulaient et jamais avoués. Un baiser chaste, doux comme de la soie.
Daï surprit par le geste de son ami, ne répondit pas au baiser. Lorsqu'Abi se détacha de ses lévres il put voir dans ses yeux tous ses espoirs d'amour s'envoler. Abigail venait de lui apporter la preuve d'amour qu'il esperait depuis si longtemps. Sans réfléchir il s'empara des lévres de celui qu'il aimait, s'en éloigna pour mieux les retrouvées à nouveau. Mélant sa langue à celle d'Abi, découvrant de nouveaux plaisirs. Ceux d'un amour partagé.
L'attirant contre lui, Abi le fit basculer sur le lit, profitant de l'exclamation de surprise pour introduire à nouveau sa lanque entre les lévres sucrées de Daï. Il glissa les mains sous le tee shirt de celui-ci, découvrant un torse imberbe, finement musclé. Descendant ses lévres dans son cou, le suçotant légèrement, exitant une zone érogène de premier ordre. Il sentit son amant se contracter sous ses caresses, il semblait apprécier la situation. Abi se colla un peu plus contre lui, plaquant son bassin contre le sien, déposant sa main contre la bosse de plus en plus importante qu'il pouvait sentir à travers le jean de son amant.
Les gestes d'Abi étaient si tendre, si emplit d'amour, que Daï en était ému. Plus rien ne comptait pour lui, plus rien d'autre que ces mains le caressant, cette bouche l'embrassant, le léchant, le mordillant. Ne voulant pas rester passif, d'un coup de rein habile il renversa son amant pour venir se placer à califourchon sur les hanches de celui-ci. Il retira son tee shirt puis celui de son partenaire pour laisser librement ses mains parcourirent ses muscles fins et son ventre délicat. Les respirations devenaient de plus en plus saccadées, la passion et le désir dissimulaient durant si longtempstant les consumaient à présent. Les baisers et les caresses d'Abi sur son dos lui faisait perdre la tête. Les mains tremblantes, sans lacher les lévres de son vis a vis, il commenca à défaire la boucle de la ceinture d'Abi. Une fois la barrière levée, il glissa directement ses doigts sous le tissu fin du boxer, arrachant un gémissement de plaisir à son amant. Avec délicatesse il retira sa main et entreprit de faire glisser le vêtement le long de ses cuisses, emportant d'un même mouvement le dernier rempart masquant l'objet de ses désirs.

- Si tu savais comme j'ai attendu ce moment... Gémit t'il.

Abi laissa échaper, de sa bouche entrouverte, un léger grognement de désaprobation de ne plus sentir les lévres de son amant contre les siennes. Daï s'approcha immédiatement de ce corps offert, collant de nouveau son bassin contre la virilité mise à nue et prit de nouveau possession de ses lévres. Il sentit la main de Daï carresser son ventre, puis celui ci se décolla de sa bouche. Il laissa sa main précéder ses lévres, descendant de plus en plus bas, parsement le corps nu de baisers. Les lévres et les mains atteignirent leur but en même temps, faisant se contracter Abi sous le plaisir procuré.
Daï voulait mettre dans cet acte tout son amour et ses sentiments non exprimés, il y mettrait tout son coeur compensant le manque de savoir faire. Il prit son temps, masquant la gêne par le désir, alternant, caresses et baisers. Il sentit les mains de son amant se perdre dans ses longues mèches brunes, exerçant une pression, l'accompagnant dans son geste et lui intimant le rythme à suivre.
Abi était au septième ciel, jamais il n'avait prit autant de plaisir avec une femme. Son esprit était ailleur, perdu dans les méandres de sensations, emporté par la succion exercée. Il en était persuadé, rien à cet instant n'aurait pu calmer le désir qu'il éprouvait. N'en pouvant plus, tout son corps se contracta à l'approche de la jouissance inévitable et il se déversa dans la bouche de son amant. Celui-ci avala une partie de la semence, en gardant pour faire partager le fruit du plaisir dans un langoureux baiser. Abi avait du mal à retrouver ses esprits, il fit glisser à son tour ses mains jusqu'à la fermeture du jean de Daï.

- Je... J'en peux plus Daï... Prend moi maintenant...
- Vos désirs sont des ordres trés cher. Répondit celui ci légerement amusé par la demande.

Daï aida Abi à terminer de retirer son pantalon, le boxer devenu superflut le rejoins dans un coin de la chambre. Il vient se placer entre les jambes de son amant, les remontant sur ses épaules. Il se pencha pour l'embrasser et sans prévenir le pénétra, arrachant un cris de douleur à son amant. Il sentit les ongles d'Abi lui griffer le dos jusqu'au sang, la douleur devait être intense et bientôt le désir fit place à l'inquiétude.

- Abi, ca va ? Tu veux que je ...
- Ca va ...
- Tu es sur ?
- Ca va passer, bouge ...  Répondit-il un brin agacé.

Rassuré Daï se mit en mouvement, entamant de légers va et viens. Bientôt la douleur fit place au plaisir et le plaisir à l'extase. Abi commençais  à s'habituer à la présence imposante de son amant en lui, et il en voulait plus. Il commença à donner de legers coups de bassin, montrant ainsi qu'il désirait intensifier les choses. Daï ne se fit pas prier, il accelera le mouvement, donnant des coups vifs et puissant, le transportant au paradis. Aucun des deux ne cachait son plaisir, dans la piéce résonnait à présent les gémissements de deux corps transpirant sous la chaleur de leur contact.
Tous deux atteignirent l'orgasme simultanément, se liberant dans un râle de bonheur intense. Daï se laissa tomber sur le torse d'Abi, cherchant à nouveau ses lévres pour murmurer tout contre elles des promesses d'amour et de bonheur infinis.

- Ai-shiteru Abigail. Ai-shiteru ...  Murmura t'il
- Mmmh ? ...
- Je t'aime ...
- Moi aussi... Moi aussi je t'aime Daïsuke.

Leurs bouches s'unirent à nouveau pour ne plus se quitter. Ils restèrent ainsi, blottit l'un contre l'autre partageant le bonheur d'être aimé de la personne qu'on aime.

......

Au dehors la nuit tombait, masquant l'astre rougeoyant, ignorant l'union qu'elle célébrait, insensible au bonheur qu'éprouve un coeur aimé.
Ils étaient là, s'embrassant avec fougue, dans les bras l'un de l'autre inconscient de ce jour de février si particulier lorsque l'on aime. Ce soir il avait perdu un ami, mais avais gagner un amour qui lui semblait infini et éternel.
Joyeuse Saint Valentin ...














Par Electre - Publié dans : OS: Joyeuse Saint Valentin. - Communauté : Shiteki Yoku
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